22 mars 2008
A M. et Mme MARIN
Vous pleurez votre enfant ! et pourtant, dites-vous, « C’était un petit ange…il était le plus sage, « Le plus affectueux des enfants de son âge : « On n’en voyait pas de plus doux… » Eh bien ! ne pleurez pas, bon père, tendre mère, Il était « pauvre ami...